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Tchoukie-Ville

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20 juin 2008

Le printemps

Mercredi matin, 10h. Enfin un peu avant 10h puisque la flippée que je suis est toujours (ou presque) en avance pour le boulot. Je stresse un bon coup, je respire un autre bon coup et hop! me voilà dans l'arène. Et finalement ce n'est pas si horrible que ça ! C'est même assez sympa je dirais! Enfin il y a des cotés chiants: glisser des chemises dans des pochettes de Cellophane et leur coller des gommettes dessus: on a connu mieux! Mais l'ambiance est sympa (que des jeunes ça aide) et puis les clients sont en majorité gentils et s'ils ne le sont pas on leur casse du sucre sur le dos juste après donc c'est toujours tout bénéf' ! :) et le mieux c'est que je suis officiellement engagée :) je n'ai donc plus qu'à réussir à vendre qq trucs et ça ira :) Chouette non? :)
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11 juin 2008

Demandez le programme !

Le programme est fixé !

  • de maintenant au 17 juin:  R I E N
  • les 18 et 19 juin: deux jours de formation au Printemps de l'Homme (hum hum!)
  • du 20 au 23 juin: re- R I E N
  • du 24 juin (happy birthday Pierre ! ) à mi juillet: vendeuse au Printemps de l'Homme (toujours hum hum!)
  • le 21 juillet: relax, take Mika easy !
  • au mois d'aout: Grèce :D


Et comme après c'est moins réjouissant je m'arrête là :P

2 juin 2008

Blanche

Chaque nuit blanche comprend un moment désagréable. Je parle des nuits blanches que je pratique le plus souvent soit donc des nuits blanches qualifiables de "solitaires". Je réinvente l'hermitage perchée dans mon lit. Ce moment désagréable est l'instant où vous vous rendez compte que là il n'y a que vous. Que vous êtes seule. Ow j'adore être seule hein, c'est vraiment pas le problème. Mais seule + obscurité + silence + durée = petit poi(d)s. Vous n'êtes pas en danger donc vous ne pouvez contacter personne. Enfin vous pouvez contacter des gens mais à retardement. Ils verront votre message dans plusieurs heures (ou juste quelques cela dépend si vous connaissez des lèves tôt ou des lèves tard hein). Et là vous vous retrouvez allongée à plat ventre penchée sur votre ordi dans le noir le plus total et le silence complet. Oui parce que même à Paris le silence complet la nuit ça existe! Cette situation n'est pas flippante parce qu'être seule c'est en même temps rassurant. Oui parce que s'il y avait quelqu'un d'autre sachant que ceux que vous connaissez (soit vos parents) dorment cela signifierait que c'est un (ou des?!) étrangers et ah mon dieu quelqu'un que je ne connais pas dans mon appartement ou sur mon toit = je huuuuurle.

Bref. De toutes façons je suis seule (à part ce volet qui vient de craquer et de me faire sursauter ^^). Et donc je suis heureuse de cette solitude (re-craquement du volet: c'est louche?). Je profite! Pourrais-je regarder plus de dix épisodes à la suite de Sex and the city si je n'étais pas seule? Sans que quelqu'un pète un câble j'entends. Et bien non! Pourrais-je manger des tartines grillées au miel accompagnées d'une soupe aux légumes moulinés en bouteille sans me faire traiter de folle (et oui dans cet ordre)? Et bien non! Pourrais-je grignoter mon ongle en plein vagabondage de l'esprit?  Et bien non! D'ailleurs ça serait louche et/ou significatif que je m'emmerde si je fais ça en public (à bon entendeur ;) )

Pour tout ça c'est chouette d'être seule comme ça éveillée alors que les autres dorment. Sur mon petit radeau nocturne ! Et puis ça laisse tout plein de temps pour penser en même temps! C'est comme une séance chez le psy mais à domicile et en beaucoup moins cher (et plus rentable!)

(finalement c'est plutôt positif comme article :) le moment désagréable a dû passer! :P )

2 juin 2008

La fac - le retour

Horreur concours. Encore plus horreur: pas concours ! Enfin je dois plutôt dire "plus concours". Et oui annulé plus annulé. Les joies de la P1. Bref. Ne parlons plus de ça, nous avons mieux à faire! :)

26 mai 2008

La fac

Ce 7 mai j'étais contente. Je pensais être en vacances. Alors évidemment j'en profite je me couche tard je vois mes amis et mon chou je fais la féria à Nîmes bref tout va bien. Et là. Le drame. Samedi 24 mai alors que j'étais avec mon choupa chou je reçois un texto de Vanessa, collègue et amie d'amphi, qui me dit que c'est horrible on doit repasser la biochimie et la biophysique le 16 juin. Bon tout le monde connait l'esprit P1 donc je crois que c'est une blague et je lui renvoie un texto lui signifiant. Mais cette demoiselle ne se décourage pas et me rappelle. Là je commence à douter. Alors arrivée chez Flo je vais consulter mes mails "officiels" de la fac et là: horreur: c'est VRAI!! Cette bande de bras cassés nous reconvoque de 17h30 à 21h30 (notez l'horaire de merde) le 16 juin pour repasser les deux épreuves citées plus haut. Non mais. Comment ils se sont débrouillés?? C'est même pas la faute de prof: c'est des grilles QCM donc c'est corrigé par ordi (on fait difficilement plus simple quoi).
Bref il ne me reste plus qu'à ressortir TD et poly et à réviser (à nouveau ^^).
Tuez moi par pitié.

PS: moi qui avait fait bisqué tout le monde avec des "je suis en vacanceuuuhhh à tort et à travers" j'ai (pour une fois ^^) l'air fine! :/

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23 mai 2008

Le pourquoi du comment

Faisons les comptes. Cela fait... 6 mois et 18 jours! Tout tout pile !
Et autrement dit tout une vie ! enfin pas pour tout le monde mais pour moi oui :)

J'aime ce garçon. Oups! Plutôt cet homme. Oui parce que je le considère comme un homme. Mon homme !
Et que lorsqu'il me prend dans ses bras plus rien n'existe. Je dirais même que c'est tout simplement quand il est là.

No surprises passe en bande son. Je ferme les yeux et je nous revois, notre première danse le premier soir. Sur le balcon de St Sta. Un peu dans le froid mais ce n'est pas très important. Comme on était chou. Remarquez nous le sommes encore ! On était tout hésitants, mais bien. Parce qu'ensemble. Même si j'ai du légèrement lui écraser les pieds, des doc' c'est un peu dur à manier ! Cette soirée ou plutôt cette nuit lui ressemble beaucoup.

Mon choupa chou. Comme une chupa chups ! J'adore comme il me regarde. Sa façon d'être qui le rend touchant et (me) donne envie de le toucher ! Au sens propre comme au figuré. Comme je suis bien quand il est là. Non vraiment c'est indescriptible. Est ce que vous connaissez cette impression qui se transforme en réalité d'être à votre place? L'autre coté du moule.

Et puis je pense à peu près... tout le temps à lui. Vu le nombre de textos que je lui envoie il doit bien s'en douter! =) C'est ma faute si je suis accro? A lui et/ou aux textos =) J'aime bien l'embeter en plus. Enfin tout gentiment hein! Il n'en est que plus chou dans ces moments là :) Et j'aime bien aussi lui couper les cheveux sans faire de trous dedans! (enfin je crois) Oui parce que je sais aussi couper les cheveux courts hihii tout le monde sait que de toutes façons i'm the best en tout :) (et en ego aussi!)

J'aime bien passer des heures dans ces bras. Et quand ma mère m'appelle comme toujours sortir rapidement dehors pour donner l'impression d'être à l'extérieur avec le bruit des voitures qui passent dans la rue. Ah comme nous sommes rusés les jeunes ^^

J'ai bien aimé que mon papa l'accepte comme ça, du premier coup (enfin l'idée d'abord). Ca m'a beaucoup surprise j'avoue, enfin agréablement surprise! Manque plus que la rencontre, hum hum :)

Bon j'ai pas fini mais: je reviendrais :D

3 mai 2008

La cour des miracles

De quoi ai-je peur?
C'est à la fois totalement confu mais tellement distinct.
J'ai peur du reste. L'actuel me convient puisque l'actuel est beau. L'actuel est perfection.
L'actuel est juste.
Mais je ne veux pas que ça change. Tout le monde change, je change.
Je vois toujours la fin avant de savourer le moment. A croire que j'ai l'angoisse chevillée au corps!
Je n'arrive pas à m'en défaire. Malgré tout ce qui pourrait me rassurer, malgré tout ce qu'on essaye de me dire, malgré tout ce qu'il essaye de me dire. Ce n'est pas que je ne le crois pas. Ni que je doute de lui. Sur le moment je suis rassurée apaisée et tout et tout. Vraiment.
Mais ça revient. Pourtant. Je l'aime et j'ai confiance en lui. Pleinement entièrement totalement.
Mais je n'arrive pas à me défaire de ces peurs. Ce n'est pas lui. C'est même plutôt moi. Hum.

3 mai 2008

Un point c'est tout

Ça fait du bien.

3 mai 2008

Voilà l'étéééé héé !

Il est tard. L'heure où on devrait aller dormir. Retrouver ses rêves (pour un moment).
L'heure où l'esprit se fond dans la nuit et flotte un peu. Juste au dessus, au niveau de l'auréole. Sauf que bien sur il n'y a pas d'auréole.
C'est une sensation étrange que de songer que dans le coin on est la seule à se mouvoir encore à ne pas être déjà parti. Un décalage.
Comme un peu dans la vie.
Dans maintenant 4 jours j'ai un concours. J'en ai rien à foutre je ne réalise pas. J'ai juste envie de m'enfuir d'ici. Run away. Fuir loin de tous ces ennuis de toute cette prostitution dire au revoir aux problèmes et aux préoccupations.
On va me trouver puérile. J'ai l'habitude. Mais je voudrais partir. Genre vers le milieu gauche, très loin. En mer. Et tout reconstruire.
Je repars sur de mauvaises bases. C'est cyclique. Là je suis sur une mauvaise base. Il faudrait tout effacer et tout recommencer.
Est ce possible? Comment tout bouger sans ne rien déplacer?
Telle est la question me direz vous.
Mais voyez vous encore j'étouffe. Je deviens schizophrène. L'un est moi l'autre aussi mais ne se mélangent pas. L'un j'aime l'autre pas, l'un j'en ai besoin l'autre aussi.
Alors on fait quoi dans ce cas? Ah ah.
Je pense que l'étouffement n'est à la longue pas terriblement viable.
Alors je donne un coup de poing dans l'oreiller plaqué sur ma bouche? C'est une solution mais elle n'est pas immuable.
L'été va commencer. Quels sont les plans? Euhh.
Je vous expose ma vision: je travaille chez Figaret durant les soldes. Ce n'est ni trop court ni trop long. Nickel. En plus j'aime l'endroit. Avant je m'amuse entre Nîmes et Paris. Je vois les gens. Pendant aussi bien sur ! Je vois le chou surtout. Mon chou.
Mon dieu que cela me fait peur. C'est tellement fort je me demande si cela est vraiment réel. Peut être que tout va s'arrêter demain? Je veux que cela dure toute la vie. Rester sur mon nuage. Mais. Vais je réussir à le "garder"? Va t il toujours m'aimer pour toujours? Je me pose des milliers de questions voyez vous et malgré des milliers de réponses les questions restent. Ou plutôt la crainte. La crainte est toujours présente. Sans raison. Mais là. Je ne veux pas que ça s'arrête, c'est trop beau, trop fort, trop parfait.
Parce que voyez vous avec lui je suis bien. Je ne suis ni une autre ni personne: juste moi. Et c'est tellement rare vous savez. Je n'ai pas peur dans ses bras. Je suis tellement bien quand j'entends son cœur battre à mon oreille. C'est ma berceuse à moi. Ma petite comptine.
Je l'aime vous comprenez? Certes d'une manière puérile. A ma manière. Mais vraiment.
Je ne voudrais jamais le perdre.
Ensuite il y a la Grèce. En aout? Why not. Là on a l'habitude. On passe.
Et ensuite... Mon dieu je ne préfère pas savoir. Je ne veux pas qu'il parte vous comprenez?
Ces six mois ont été superbes voyez vous. Superbes mais... dur? C'est presque le mot. Je ne regrette rien puisque je vous dit que je l'aime. Et que c'est pour toujours. Mais. Re-loin?
Et je suis sensée faire quoi moi? Oui la liberté tout ça d'accord. Evidemment!
Mais... le manque? C'est être libre ça aussi? Le manque qui vous sert le cœur comme une éponge qu'on essore. On la presse bien fermement pour en extraire la moindre parcelle d'humidité. Pressée, pliée, jetée. Aoutch? Oui aoutch.
J'angoisse pour tellement tout. Pour tellement rien. J'ai peur. C'est tout.
Je ne voudrais jamais le perdre.

1 mai 2008

Tchouk tchouk tchouk

Il était une fois une jeune fille. Une jeune "ado" plutôt. Ce genre d' "ado" mi-paumée mi-pseudo.rebelle mi-peu.intéressante.
Principalement parce qu'elle s'ennuyait dans sa vie. Oh bien sur elle avait des amis, un amoureux, des activités extra-scolaire, elle sortait pas mal ou en tout cas raisonnablement. Bref une vie normale, sympathique.
Mais chiante.
Bien sur prises séparément toutes les parties de sa vie étaient sympa.
Le théâtre, les potes, la (hum) famille. Et le reste.
Mais malgré tout ça la jeune demoiselle s'ennuyait.
Ensuite il y a eu le déménagement. On change tout et on recommence.
On change d'atmosphère, d'ambiance.
On entre chez les grands. On s'embrouille avec les anciens. On trouve des nouveaux.
On se sent mieux. On gagne en liberté.
On évolue et les autres évoluent avec nous.

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